« Et s’ils me questionnent sur mon passé, il me faudra dire un mensonge : je dirai que j’arrive d’un monde étrange, que je ne connais pas la douleur, que j’ai triomphé en amour et que je n’ai jamais pleuré. »
La chanteuse, entourée du violoncelle et de la guitare, acoustique et électrique, propose un voyage initiatique, rêveur, parfois mélancolique, mais jamais triste, où s’entrecroisent la chanson séfarade ou française, l’opéra et le cabaret berlinois. Tirant son titre d’une chanson mexicaine, « Un Mundo Raro » brouille les frontières musicales en puisant librement dans un vaste répertoire, et fait le pari du mélange des timbres et des genres.
Au programme : Monteverdi, Gluck, Massenet, Brel, Eisler, Holländer… et autres surprises.