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Arts Plastiques Art contemporain - Exposition
«Déclics ! »
«Déclics ! »
photographie : Marie-Pierre Arpin, Michel Friz, Michel Hirsch, Geneviève Pixa, Alain Tigoulet, Jean Valera terre cuite, Alexandra L
Date
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http://www.aida-galerie.com/
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Horaires, dates et informations particulières
du 02 au 29 mars 2023
galerie ouverte du lundi au samedi / 14:00 - 19:00
galerie ouverte du lundi au samedi / 14:00 - 19:00
Organisateur
AIDA
Les autres manifestations du même organisateur
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Lieu
AIDA,
130, Grand Rue, à Strasbourg
Afficher les manifestations organisées dans ce lieu
130, Grand Rue, à Strasbourg
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Tarifs
Entrée gratuite
Description
Aida Galerie est au rendez-vous de la photo comme chaque année avec cette exposition réunissant six photographes accompagnés d’une volumiste. On y verra des paysages de sel, des empreintes d’oiseaux, une ligne de tram, un délire optique, une cathédrale foudroyée et une planète en train de nous échapper. Et on y décèlera enfin un peu de présence chamanique.
Marie-Pierre Arpin (photos)
En Camargue elle a pointé son objectif vers les paysages d’eau, de sable et de sel qu’y offrent les salines et marais salants abandonnés. Et ce sont manifestement les tons fauves du sel rose, confrontés aux turquoises de l’eau qui ont capté sa sensibilité de coloriste.
Michel Friz (photos)
Il a apporté ici une série consacrée aux vols des hirondelles. Photographier de près une hirondelle en vol semble une vraie gageure. Sa rapidité même semble déjà effacer sa présence. Restent des silhouettes, des signes, d’où l’intitulé « L’Alphabet des hirondelles »
symboles de liberté et de paix.
Geneviève Pixa (photos)
Elle explore la ligne Du tram de l’agglomération strasbourgeoise, partie d’une série intitulée « ligne de tram, ligne de vie ».Elle y a cherché à saisir au vol des éléments insolites, incongrus et certainement, comme elle-même l’assure, à ne mettre dans aucun dépliant touristique.
Michel Hirsch (photos)
Fasciné par le foisonnement de ses gratte-ciels revêtus de glaces miroirs et de parois réfléchissantes, il a rapporté de New-York une moisson de clichés. Il a capté la lumière si particulière à cette ville où les jeux de miroirs participent à la diffusion lumineuse en dépit de l’encombrement de cette forêt de constructions.
Alain Tigoulet (photos)
Sa série de photos noir et blanc est intitulée « Cathédrale ouvrière ». Le choix du noir et blanc donne à ces lieux l’illusion d’une totale unité de matière. On croirait ces formes sculptées dans la pierre comme pour témoigner avec démesure de la foi avec laquelle ces monuments semblent avoir, à tort ou à raison, été édifiés…
Jean Valera (photos)
Tirages noir et blanc intitulés « Terra Nostra ». Chacun d’eux illustre l’une des crises diverses affectant notre planète : pandémies, changement climatique, conflits et guerres,...
Ces thématiques graves sont toutefois représentées à l’aide de moyens dérisoires tels que jouets, objets familiers, petites figurines diverses… Non pas par détachement mais plutôt comme une charge.
Alexandra L (terre cuite)
Elle réalise des figures en argile cuite, patinées ou engobées. Ces figures à la fois zoomorphes, phytomorphes et anthropomorphes renvoient à un imaginaire manifestement animiste, faisant appel à l’esprit de la terre et à l’âme de toutes les formes du vivant.
Aida Galerie est au rendez-vous de la photo comme chaque année avec cette exposition réunissant six photographes accompagnés d’une volumiste. On y verra des paysages de sel, des empreintes d’oiseaux, une ligne de tram, un délire optique, une cathédrale foudroyée et une planète en train de nous échapper. Et on y décèlera enfin un peu de présence chamanique.
Marie-Pierre Arpin (photos)
En Camargue elle a pointé son objectif vers les paysages d’eau, de sable et de sel qu’y offrent les salines et marais salants abandonnés. Et ce sont manifestement les tons fauves du sel rose, confrontés aux turquoises de l’eau qui ont capté sa sensibilité de coloriste.
Michel Friz (photos)
Il a apporté ici une série consacrée aux vols des hirondelles. Photographier de près une hirondelle en vol semble une vraie gageure. Sa rapidité même semble déjà effacer sa présence. Restent des silhouettes, des signes, d’où l’intitulé « L’Alphabet des hirondelles »
symboles de liberté et de paix.
Geneviève Pixa (photos)
Elle explore la ligne Du tram de l’agglomération strasbourgeoise, partie d’une série intitulée « ligne de tram, ligne de vie ».Elle y a cherché à saisir au vol des éléments insolites, incongrus et certainement, comme elle-même l’assure, à ne mettre dans aucun dépliant touristique.
Michel Hirsch (photos)
Fasciné par le foisonnement de ses gratte-ciels revêtus de glaces miroirs et de parois réfléchissantes, il a rapporté de New-York une moisson de clichés. Il a capté la lumière si particulière à cette ville où les jeux de miroirs participent à la diffusion lumineuse en dépit de l’encombrement de cette forêt de constructions.
Alain Tigoulet (photos)
Sa série de photos noir et blanc est intitulée « Cathédrale ouvrière ». Le choix du noir et blanc donne à ces lieux l’illusion d’une totale unité de matière. On croirait ces formes sculptées dans la pierre comme pour témoigner avec démesure de la foi avec laquelle ces monuments semblent avoir, à tort ou à raison, été édifiés…
Jean Valera (photos)
Tirages noir et blanc intitulés « Terra Nostra ». Chacun d’eux illustre l’une des crises diverses affectant notre planète : pandémies, changement climatique, conflits et guerres,...
Ces thématiques graves sont toutefois représentées à l’aide de moyens dérisoires tels que jouets, objets familiers, petites figurines diverses… Non pas par détachement mais plutôt comme une charge.
Alexandra L (terre cuite)
Elle réalise des figures en argile cuite, patinées ou engobées. Ces figures à la fois zoomorphes, phytomorphes et anthropomorphes renvoient à un imaginaire manifestement animiste, faisant appel à l’esprit de la terre et à l’âme de toutes les formes du vivant.
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