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Jeune Public Marionnettes - Tous âges
PAR LES BORDS
PAR LES BORDS
TJP Saison 2021/ 22
Date
Horaires, dates et informations particulières
CRÉATION | PREMIÈRES
PRODUCTION
VEN 4 MARS | 21H
SAM 5 MARS | 18H
DIM 6 MARS | 19H
50’ | DÈS 10 ANS
GRANDE SCÈNE
DANS LE CADRE DU FESTIVAL
LES GIBOULÉES, DU 4 AU 19 MARS
PRODUCTION
VEN 4 MARS | 21H
SAM 5 MARS | 18H
DIM 6 MARS | 19H
50’ | DÈS 10 ANS
GRANDE SCÈNE
DANS LE CADRE DU FESTIVAL
LES GIBOULÉES, DU 4 AU 19 MARS
Organisateur
TJP - Centre Dramatique National d'Alsace
Les autres manifestations du même organisateur
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Lieu
Théâtre Jeune Public Grande Scène,
7, rue des Balayeurs, à Strasbourg
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7, rue des Balayeurs, à Strasbourg
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Tarifs
Description
RENAUD HERBIN
Cette nouvelle création de Renaud Herbin est un jeu de construction qui s’opère par les bords. Entre ciel et terre, les reliefs apparaissent du pourtour. Bras de leviers et jambes de force créent des architectures inclinées. Le désir d’oblique devient modalité d’être au monde. Le metteur en scène propulse Jean-Baptiste André, danseur-équilibriste aux prises avec une immense porte se faisant mur, sol ou abri. Transpercée de longues perches, elle devient manipulable à distance, sans être totalement domptable : ses forces invisibles entretiennent un déséquilibre têtu. Dans cette cosmogonie d’axes dessinant des ombres mouvantes, le corps explore un espace intérieur. La fragilité d’ériger le mène au-delà de sa virtuosité circassienne, jusqu’à un vacillement et un renversement des repères. Seule la rencontre entre le oud de Grégory Dargent et la mélopée de Sir Alice le guide.
Cette nouvelle création de Renaud Herbin est un jeu de construction qui s’opère par les bords. Entre ciel et terre, les reliefs apparaissent du pourtour. Bras de leviers et jambes de force créent des architectures inclinées. Le désir d’oblique devient modalité d’être au monde. Le metteur en scène propulse Jean-Baptiste André, danseur-équilibriste aux prises avec une immense porte se faisant mur, sol ou abri. Transpercée de longues perches, elle devient manipulable à distance, sans être totalement domptable : ses forces invisibles entretiennent un déséquilibre têtu. Dans cette cosmogonie d’axes dessinant des ombres mouvantes, le corps explore un espace intérieur. La fragilité d’ériger le mène au-delà de sa virtuosité circassienne, jusqu’à un vacillement et un renversement des repères. Seule la rencontre entre le oud de Grégory Dargent et la mélopée de Sir Alice le guide.
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