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Danse Autre - Spectacle
CAROLINE GROSJEAN CIE PIÈCES DÉTACHÉES EXIT 87
CAROLINE GROSJEAN CIE PIÈCES DÉTACHÉES EXIT 87
MA & Granit Saison 2018/ 19: Danse
Date
Contact
http://www.magranit.org
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Lieu
Les Bains Douches,
4 rue Charles Contejean, à Montbéliard
Afficher les manifestations organisées dans ce lieu
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Tarifs
Description
S’installer auprès des danseurs. Vibrer avec leur force. Entendre leurs voix. Descendre dans l’arène d’un concert punk. Dans Exit 87, Caroline Grosjean offre le luxe simple, rare, de la plus grande proximité. Pleine de force.
Les sièges sont disposés en ilôts sur le plateau. Aussi bien, on peut rester debout. S’asseoir par terre. Changer de place. Caroline Grosjean engage les sept interprètes d’Exit 87 dans un rapport de très grande proximité avec les spectateurs. On sait le travail extraordinaire que cette artiste mène auprès des gens, partout dans la région. Une fois sur le plateau, la danse d’Exit 87 se frotte au contact des regards qui se croisent. Les gestes ne sont plus isolés, protégés, là-bas loin sur scène, dans une grande lumière. C’est un risque. C’est un plus.
Les danseurs d’Exit 87 ne sont pas frivoles, ou trop jeunes, ou seulement techniques. Ils sont engagés. La chorégraphe évoque des corps « tendus, sensibles, chargés, transis ».
Ils parlent aussi, et l’écrivaine Anne Savelli fut à leurs côtés tout au long de leurs préparatifs. C’est une vie partagée, plutôt qu’un planning de répétitions. C’est très sonore aussi. Une guitare, une batterie, de l’électronique, là sur le plateau. L’énergie punk, entière, remuante, sans concession, se consume au cœur de cette pièce.
Exit 87 est à saisir, à fouiller, tout comme on partirait en exploration. Ce spectacle refuse la tiédeur fade des vies contemporaines. Trop lisses, trop cadrées. Nos vies. Dans un espace bouleversé, des actions fragmentées partent au combat. Un combat pour la sincérité de l’instant présent. Et surtout : partagé. Impliquez-vous, si vous le souhaitez.
Les sièges sont disposés en ilôts sur le plateau. Aussi bien, on peut rester debout. S’asseoir par terre. Changer de place. Caroline Grosjean engage les sept interprètes d’Exit 87 dans un rapport de très grande proximité avec les spectateurs. On sait le travail extraordinaire que cette artiste mène auprès des gens, partout dans la région. Une fois sur le plateau, la danse d’Exit 87 se frotte au contact des regards qui se croisent. Les gestes ne sont plus isolés, protégés, là-bas loin sur scène, dans une grande lumière. C’est un risque. C’est un plus.
Les danseurs d’Exit 87 ne sont pas frivoles, ou trop jeunes, ou seulement techniques. Ils sont engagés. La chorégraphe évoque des corps « tendus, sensibles, chargés, transis ».
Ils parlent aussi, et l’écrivaine Anne Savelli fut à leurs côtés tout au long de leurs préparatifs. C’est une vie partagée, plutôt qu’un planning de répétitions. C’est très sonore aussi. Une guitare, une batterie, de l’électronique, là sur le plateau. L’énergie punk, entière, remuante, sans concession, se consume au cœur de cette pièce.
Exit 87 est à saisir, à fouiller, tout comme on partirait en exploration. Ce spectacle refuse la tiédeur fade des vies contemporaines. Trop lisses, trop cadrées. Nos vies. Dans un espace bouleversé, des actions fragmentées partent au combat. Un combat pour la sincérité de l’instant présent. Et surtout : partagé. Impliquez-vous, si vous le souhaitez.
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