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Musique Autre - Concert
Tina
Tina
Maillon Musique Saison 2022/23
Date
Contact
http:///www.maillon.eu/
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Horaires, dates et informations particulières
mer 14 déc. 2022, 20:30
jeu 15 déc. 2022, 20:30
ven 16 déc. 2022, 19:00
jeu 15 déc. 2022, 20:30
ven 16 déc. 2022, 19:00
Lieu
Théâtre le Maillon,
7 place Adrien Zeller, à Strasbourg
Afficher les manifestations organisées dans ce lieu
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Tarifs
Description
Conjuguant au plateau le cirque, le jeu et le chant, la nouvelle création du Théâtre d’un Jour explore la possibilité d’une évasion : comment échapper au principe de répétition dans nos vies, dans nos mots, dans nos histoires ?
Patrick Masset voit dans ce ressassement incessant la marque de la tragédie, et sa création montre la force mortifère de l’inertie. Mais par les corps acrobates, les musiques revisitées et la poésie de l’écriture, le spectacle suggère tout autant les moyens d’y échapper. Car le mouvement n’est pas quelque chose qu’il s’agit de suivre, mais bien de créer. Puisant son inspiration dans l’univers du conte, qui invite au rêve autant qu’à la quête du sens, TINA (en référence au célèbre « there is no alternative » de Margaret Thatcher) illustre une nécessité : celle du pas de côté, celle de la note qui dé-tonne, celle du geste qui dé-range. Fluide, composite, faisant résonner des airs connus et apparaître des images oniriques, la pièce donne à sentir le changement perpétuel comme une nécessité vitale : il n’y a pas d’alternative.
Patrick Masset voit dans ce ressassement incessant la marque de la tragédie, et sa création montre la force mortifère de l’inertie. Mais par les corps acrobates, les musiques revisitées et la poésie de l’écriture, le spectacle suggère tout autant les moyens d’y échapper. Car le mouvement n’est pas quelque chose qu’il s’agit de suivre, mais bien de créer. Puisant son inspiration dans l’univers du conte, qui invite au rêve autant qu’à la quête du sens, TINA (en référence au célèbre « there is no alternative » de Margaret Thatcher) illustre une nécessité : celle du pas de côté, celle de la note qui dé-tonne, celle du geste qui dé-range. Fluide, composite, faisant résonner des airs connus et apparaître des images oniriques, la pièce donne à sentir le changement perpétuel comme une nécessité vitale : il n’y a pas d’alternative.
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