Newslettre gratuite S'inscrire | Se désinscrire
Archive
Musique Classique - Concert
Pavol Breslik
Pavol Breslik
OPÉRA NATIONAL DU RHIN
Récitals - Saison 2010-2011
Date
Contact
Cliquez
ici
http://www.operanationaldurhin.eu
http://www.operanationaldurhin.eu
Lieu
Opéra national du Rhin,
place Broglie, à Strasbourg
Afficher les manifestations organisées dans ce lieu
place Broglie, à Strasbourg
Afficher les manifestations organisées dans ce lieu
Tarifs
Description
Un achèvement musical d'exception
Premier récital alsacien (Schumann, Dvorak, Strauss) d'un jeune et brillant ténor slovaque, qui dans sa jeune carrière a déjà côtoyé en à peine dix années les plus grands sur les meilleures scènes d'Europe.
Quand on se lance si jeune dans l'univers du Dichterliebe de Schumann, c'est que l'on est capable de donner à voir les paysages d'une âme, ses désirs, ses blessures, sans autres instruments que sa voix et un piano.
« Alors c'est la fraîcheur, la nouveauté de la douleur, son innocence qui nous sautent au visage, et nous griffent le cœur » (A. Tubeuf), loin des profondeurs lasses et amères qu'y mettent plus uniment les barytons. Avec Dvorak, on se doute que Breslik est totalement chez lui, de style, de voix - mais pour la langue ? Là encore, on s'étonnera sans doute d'apprendre que c'est dans leur version traduite en allemand que Dvorak a mis ces poèmes en musique, héritage d'un temps où la musique allemande dictait ses canons à l'Europe entière... Avec Richard Strauss enfin, dont Pavol Breslik nous offre un florilège, c'est le plus pur bonheur du chant qui se donne à entendre.
Programme :
Robert Schumann (1810-1856)
Dichterliebe (op. 48)
Antonín Dvořák (1841-1904)
Cigánské melodie
(Mélodies tziganes) (op. 55)
Richard Strauss (1869-1949)
Mélodies choisies
Ständchen (op. 17 n°2)
Ich trage meine Minne (op. 32 n°1)
Zueignung (op. 10 n°1)
Traum durch die Dämmerung (op. 29 n°1)
Heimliche Aufforderung (op. 27 n°3)
Morgen! (op. 27 n°4)
Premier récital alsacien (Schumann, Dvorak, Strauss) d'un jeune et brillant ténor slovaque, qui dans sa jeune carrière a déjà côtoyé en à peine dix années les plus grands sur les meilleures scènes d'Europe.
Quand on se lance si jeune dans l'univers du Dichterliebe de Schumann, c'est que l'on est capable de donner à voir les paysages d'une âme, ses désirs, ses blessures, sans autres instruments que sa voix et un piano.
« Alors c'est la fraîcheur, la nouveauté de la douleur, son innocence qui nous sautent au visage, et nous griffent le cœur » (A. Tubeuf), loin des profondeurs lasses et amères qu'y mettent plus uniment les barytons. Avec Dvorak, on se doute que Breslik est totalement chez lui, de style, de voix - mais pour la langue ? Là encore, on s'étonnera sans doute d'apprendre que c'est dans leur version traduite en allemand que Dvorak a mis ces poèmes en musique, héritage d'un temps où la musique allemande dictait ses canons à l'Europe entière... Avec Richard Strauss enfin, dont Pavol Breslik nous offre un florilège, c'est le plus pur bonheur du chant qui se donne à entendre.
Programme :
Robert Schumann (1810-1856)
Dichterliebe (op. 48)
Antonín Dvořák (1841-1904)
Cigánské melodie
(Mélodies tziganes) (op. 55)
Richard Strauss (1869-1949)
Mélodies choisies
Ständchen (op. 17 n°2)
Ich trage meine Minne (op. 32 n°1)
Zueignung (op. 10 n°1)
Traum durch die Dämmerung (op. 29 n°1)
Heimliche Aufforderung (op. 27 n°3)
Morgen! (op. 27 n°4)
Grace au soutien de :
