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Spectacle Vivant Théâtre - Spectacle
ARIA DA CAPO
Date
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Horaires, dates et informations particulières
Durée : 1h50
Lieu
Espace Culturel André Malraux,
Chemin de Montigny , à Herblay
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Tarifs
Abonné : 12.00 €
Plein tarif : 19.00 €
Tarif jeune (-25 ans) : 6.00 €
Plein tarif : 19.00 €
Tarif jeune (-25 ans) : 6.00 €
Description
Scherzando, agitato, andante ma non troppo : un quatuor de jeunes apprentis musiciens explore son âge et ses soubresauts. L’adolescence est-elle une promesse ou une terrible attente, une acuité rare ou une confusion des sentiments, un retrait ou un élan, un sas ou un continent ? De quels états mélancoliques ou extatiques est-elle porteuse ? Si elle était une allure musicale, laquelle serait-elle ?
Séverine Chavrier s’est mise à leur écoute dans tous les sens du terme puisque dans ce spectacle ils jouent de la musique, chantent, s’amusent mais aussi racontent à leur manière ce que cela signifie pour eux d’être adolescents. Leurs paroles tranchent avec leurs idées reçues sur cet âge qualifié d’ingrats. À travers des jeux de masques, ils ironisent sur le regard que portent sur eux leurs aînés mais n’hésitent pas, dans le même temps et grâce à des mots empruntés à Thomas Bernhard, à éreinter leurs idoles : les anciens, les compositeurs, leurs parents…
Scherzando, agitato, andante ma non troppo : un quatuor de jeunes apprentis musiciens explore son âge et ses soubresauts. L’adolescence est-elle une promesse ou une terrible attente, une acuité rare ou une confusion des sentiments, un retrait ou un élan, un sas ou un continent ? De quels états mélancoliques ou extatiques est-elle porteuse ? Si elle était une allure musicale, laquelle serait-elle ?
Séverine Chavrier s’est mise à leur écoute dans tous les sens du terme puisque dans ce spectacle ils jouent de la musique, chantent, s’amusent mais aussi racontent à leur manière ce que cela signifie pour eux d’être adolescents. Leurs paroles tranchent avec leurs idées reçues sur cet âge qualifié d’ingrats. À travers des jeux de masques, ils ironisent sur le regard que portent sur eux leurs aînés mais n’hésitent pas, dans le même temps et grâce à des mots empruntés à Thomas Bernhard, à éreinter leurs idoles : les anciens, les compositeurs, leurs parents…
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