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Danse Contemporaine - Spectacle
131
131
Cie La distillerie collective
© Hugo Roussel
Date
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http://machinerie54.fr
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Organisateur
Les autres manifestations du même organisateur
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Lieu
Centre Culturel Pablo Picasso de Homécourt,
Place Leclerc, à Homécourt
Afficher les manifestations organisées dans ce lieu
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Tarifs
reduit : 5.00 €
adherent : 9.00 €
partenaire : 10.00 €
plein : 12.00 €
adherent : 9.00 €
partenaire : 10.00 €
plein : 12.00 €
Description
Salle Pablo Picasso
Jeudi 21 janvier à 20h30
Dès 13 ans
« Ce qui effraie le plus, ce n’est pas la réalité mais ce qu’on imagine qu’elle cache » David Lynch
131 est un solo auto-fictionnel conçu et interprété par Marie Cambois. Pour cette pièce, la chorégraphe, danseuse et comédienne, puise dans son histoire personnelle des matériaux bruts de confection artistique qu’elle réagence. L’histoire s’exempt alors du récit et confie ses mille et une failles en cut-up, comme la trace persistante d’un rêve imprimée sur la mémoire.
À travers les situations qui s’y déroulent, le plateau devient une surface de projection (ou de réflexion) possible pour le spectateur.
Mouvement, son, lumière, scénographie, texte et voix contribuent à tisser un climat où les sens prédominent sur le sens. De cette collaboration plurielle, mais surtout humaine, naît une série de tableaux mouvants, à la manière du voyage d’Alice au pays des merveilles, d’où émergent les questions de l’identité et de sa révélation, d’où éclôt l’espoir d’une possible mutation.
Salle Pablo Picasso
Jeudi 21 janvier à 20h30
Dès 13 ans
« Ce qui effraie le plus, ce n’est pas la réalité mais ce qu’on imagine qu’elle cache » David Lynch
131 est un solo auto-fictionnel conçu et interprété par Marie Cambois. Pour cette pièce, la chorégraphe, danseuse et comédienne, puise dans son histoire personnelle des matériaux bruts de confection artistique qu’elle réagence. L’histoire s’exempt alors du récit et confie ses mille et une failles en cut-up, comme la trace persistante d’un rêve imprimée sur la mémoire.
À travers les situations qui s’y déroulent, le plateau devient une surface de projection (ou de réflexion) possible pour le spectateur.
Mouvement, son, lumière, scénographie, texte et voix contribuent à tisser un climat où les sens prédominent sur le sens. De cette collaboration plurielle, mais surtout humaine, naît une série de tableaux mouvants, à la manière du voyage d’Alice au pays des merveilles, d’où émergent les questions de l’identité et de sa révélation, d’où éclôt l’espoir d’une possible mutation.
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