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Spectacle Vivant Théâtre - Spectacle
Opéraporno
Opéraporno
Scènes Vosges Saison 2019/ 2020
Date
Contact
Horaires, dates et informations particulières
Mardi 28 janvier 2020 à 20h30
Réservé à un public adulte
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Lieu
Auditorium de la Louvière,
rue de la Louvière, à Épinal
Afficher les manifestations organisées dans ce lieu
rue de la Louvière, à Épinal
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Tarifs
Description
Réservé à un public adulte !
Un week-end en famille. Une petite maison de campagne, en bordure d’étang. Une grand-mère bloquée dans la voiture, un jeune-homme très sensible au charme de sa belle-mère, un père qui se coupe bêtement l’index en tentant de surveiller sa jeune et très jolie nouvelle épouse. Le doigt du père est dans le frigo. Le fils priape se perd dans la forêt. La grand-mère libérée vomit dans les bosquets. La belle-mère s’ennuie sur la cuvette des cabinets. Tout dégénère…
Les quiproquos s’enchaînent, les horreurs commises s’intensifient et la farce le dispute aux pratiques érotiques les plus insoutenables… jusqu’au coït final. Cet Opéraporno rêve de scandale et vise la jouissance extrême de celui qui rit, est horrifié par son rire, et rit plus encore de son effroi.
Il s’agit plutôt d’un bouffe ou d’un théâtre musical. Mais l’appellation Opéraporno est irrésistible et indique mieux l’endroit de profanation sur lequel les musiciens et chanteurs prétendent se divertir. La musique légère connaît une tradition grivoise… Le bouchon est seulement poussé un peu plus loin, époque oblige. Sous les atours « faciles » d’une œuvre libertine se cache un défi immense : celui de conduire une pièce lyrique dans les affres du sexe le plus déviant en relevant le pari d’une comédie réussie et d’une musique capable d’émouvoir.
Un week-end en famille. Une petite maison de campagne, en bordure d’étang. Une grand-mère bloquée dans la voiture, un jeune-homme très sensible au charme de sa belle-mère, un père qui se coupe bêtement l’index en tentant de surveiller sa jeune et très jolie nouvelle épouse. Le doigt du père est dans le frigo. Le fils priape se perd dans la forêt. La grand-mère libérée vomit dans les bosquets. La belle-mère s’ennuie sur la cuvette des cabinets. Tout dégénère…
Les quiproquos s’enchaînent, les horreurs commises s’intensifient et la farce le dispute aux pratiques érotiques les plus insoutenables… jusqu’au coït final. Cet Opéraporno rêve de scandale et vise la jouissance extrême de celui qui rit, est horrifié par son rire, et rit plus encore de son effroi.
Il s’agit plutôt d’un bouffe ou d’un théâtre musical. Mais l’appellation Opéraporno est irrésistible et indique mieux l’endroit de profanation sur lequel les musiciens et chanteurs prétendent se divertir. La musique légère connaît une tradition grivoise… Le bouchon est seulement poussé un peu plus loin, époque oblige. Sous les atours « faciles » d’une œuvre libertine se cache un défi immense : celui de conduire une pièce lyrique dans les affres du sexe le plus déviant en relevant le pari d’une comédie réussie et d’une musique capable d’émouvoir.
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