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Danse Autre - Spectacle
Marcos Morau / La veronal
Marcos Morau / La veronal
Pasionaria
Pole Sud Saison 2019/2020
Date
Contact
Organisateur
Pôle Sud
Les autres manifestations du même organisateur
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Lieu
Pôle Sud,
rue de Bourgogne, à Strasbourg
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Tarifs
Description
Espagne / 8 interprètes / 75'
Présenté avec le Maillon
Les mondes visuels et dansants de la compagnie La Veronal, cultivent l’art de l’étrangeté. Pasionaria, pièce chorégraphiée entre simulacre et sensualité charnelle n’échappe pas à la règle. Questionnant la passion, son chorégraphe, Marcos Morau, y déploie l’intensité d’une gestuelle finement enchâssée dans de percutantes images de scène. Parfois la dimension du corps fascine, mais elle peut aussi déranger car elle renvoie directement à l’existence. Pasionaria élargit ce propos en interrogeant le présent, notre mode de vie actuel comme notre relation au vivant, à l’image. Regard, désir, sur scène plane une curieuse sensation de vide. Comment convertir le paysage artificiel de la représentation et produire l’étincelle qui nourrit le sentiment de vie ? La Veronal s’y emploie. Tout en se jouant des formes, les interprètes évoluent à la frontière des genres, à la lisière de la scène. La chorégraphie de Marcos Morau déconstruit rythmes et lignes. Les corps, leurs attitudes suggèrent cette inclination particulière de la passion, l’ambivalence de ses expressions qui oscillent d’un extrême à l’autre, de la souffrance à l’extase. Que nous dit-elle d’aujourd’hui, cette passion? C’est autour de cette énigme, que l’artiste espagnol et ses complices ont imaginé Pasionaria, son écriture, sa danse, ses décalages et ses simulacres.
Présenté avec le Maillon
Les mondes visuels et dansants de la compagnie La Veronal, cultivent l’art de l’étrangeté. Pasionaria, pièce chorégraphiée entre simulacre et sensualité charnelle n’échappe pas à la règle. Questionnant la passion, son chorégraphe, Marcos Morau, y déploie l’intensité d’une gestuelle finement enchâssée dans de percutantes images de scène. Parfois la dimension du corps fascine, mais elle peut aussi déranger car elle renvoie directement à l’existence. Pasionaria élargit ce propos en interrogeant le présent, notre mode de vie actuel comme notre relation au vivant, à l’image. Regard, désir, sur scène plane une curieuse sensation de vide. Comment convertir le paysage artificiel de la représentation et produire l’étincelle qui nourrit le sentiment de vie ? La Veronal s’y emploie. Tout en se jouant des formes, les interprètes évoluent à la frontière des genres, à la lisière de la scène. La chorégraphie de Marcos Morau déconstruit rythmes et lignes. Les corps, leurs attitudes suggèrent cette inclination particulière de la passion, l’ambivalence de ses expressions qui oscillent d’un extrême à l’autre, de la souffrance à l’extase. Que nous dit-elle d’aujourd’hui, cette passion? C’est autour de cette énigme, que l’artiste espagnol et ses complices ont imaginé Pasionaria, son écriture, sa danse, ses décalages et ses simulacres.
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