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Spectacle Vivant Théâtre - Spectacle
CROWD
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GISÈLE VIENNE
Le Carreau Saison 2018/19
© Estelle Hanania
Date
Organisateur
Le Carreau - scène nationale de Forbach et de l'est mosellan
Les autres manifestations du même organisateur
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Lieu
Le Carreau - scène nationale de Forbach et de l'est mosellan,
Avenue Saint Rémy, à Forbach
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Tarifs
Description
Depuis ses premières pièces dans les années 2000 (I apologize, Jerk, Une belle enfant blonde…) Gisèle Vienne n’a de cesse de semer le trouble, de fasciner et de déranger avec ses créations alternatives.
Avec Crowd, quinze danseurs accompagnés d’une partition musicale techno rendent un hommage hallucinant aux free parties. Sur les accents électro du DJ-set de Peter Rehberg, les jeunes fêtards constituent un groupe où les histoires se croisent et se superposent. Sexe, violence, rivalité explosent comme autant d’éclats de canettes de bière dans cette rave exutoire où la violence se mêle à la jubilation, où la sensualité épouse la cruauté.
Là encore, le travail de Gisèle Vienne vient interroger le rapport trouble que nous entretenons avec nos fantasmes, posant la question complexe de la façon dont l’homme peut canaliser ses pulsions. Les mouvements stylisés, interprétés avec brio, provoquent un sentiment d’hallucination et créent une écriture chorégraphique singulière. Quand la nuit est finie et le champ de boue abandonné, reste le corps d’un public vibrant, transporté, hypnotisé.
Avec Crowd, quinze danseurs accompagnés d’une partition musicale techno rendent un hommage hallucinant aux free parties. Sur les accents électro du DJ-set de Peter Rehberg, les jeunes fêtards constituent un groupe où les histoires se croisent et se superposent. Sexe, violence, rivalité explosent comme autant d’éclats de canettes de bière dans cette rave exutoire où la violence se mêle à la jubilation, où la sensualité épouse la cruauté.
Là encore, le travail de Gisèle Vienne vient interroger le rapport trouble que nous entretenons avec nos fantasmes, posant la question complexe de la façon dont l’homme peut canaliser ses pulsions. Les mouvements stylisés, interprétés avec brio, provoquent un sentiment d’hallucination et créent une écriture chorégraphique singulière. Quand la nuit est finie et le champ de boue abandonné, reste le corps d’un public vibrant, transporté, hypnotisé.
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