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Spectacle Vivant Théâtre - Spectacle
ÇA DADA
ÇA DADA
TJP saison 2018/2019
© Elisabeth Carecchio
Date
Contact
http://www.tjp-strasburg.com
http://www.tjp-strasburg.com
Horaires, dates et informations particulières
JEU 25 AVRIL / 14H15
VEN 26 AVRIL / 10H & 20H
DIM 28 AVRIL / 11H & 17H
LUN 29 AVRIL / 10H
MAR 30 AVRIL / 10H.
Dès 6 ans
VEN 26 AVRIL / 10H & 20H
DIM 28 AVRIL / 11H & 17H
LUN 29 AVRIL / 10H
MAR 30 AVRIL / 10H.
Dès 6 ans
Lieu
Théâtre de Hautepierre,
Place André Maurois, à Strasbourg
Afficher les manifestations organisées dans ce lieu
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Tarifs
Description
Invitée par Fabrice Melquiot, directeur du Théâtre Am Stram Gram de Genève, à créer un spectacle librement inspiré du mouvement Dada, Alice Laloy se lance à corps perdu dans cette révolution artistique. En 1916, les dadaïstes s’attaquaient à la morale bourgeoise des sociétés impérialistes embourbées dans la boucherie de la Première Guerre mondiale. Leur proposition pour répondre à l’absurde de ce monde et mieux vivre : créer. Dans Ça Dada, la metteure en scène s’empare de leur verve et de leurs préceptes pour pulvériser les codes du théâtre.
Ce saccage en règle, allié à un détournement d’objets et d’idées aussi drôle qu’insolent, souffle un vent de liberté porté par trois comédiens. Ils entrent dans un état d’esprit particulier : celui du combattant de l’art, prêt à affronter l’inconnu et le chaos, en quête d’un acte de création. Armés de bombes de peinture, de marteaux, de machineries, de mannequins et d’outils en tous genres, ils vont tout mettre à terre.
Les transgressions et toutes sortes de fantaisies se multiplient, les folies poétiques et les scandales se bousculent dans une scénographie où tout s’écroule, se défigure et se reconfigure avec un étonnement permanent. Le monde qu’ils reconstruisent galope, hennit, chante par onomatopées, se tache de peinture, éclate et chute à nouveau. Leur terrain de jeu kaléidoscopique, en forme de fête joyeuse et vivifiante, célèbre notre capacité créatrice et nous rappelle que tout est possible. Même rejouer l’ordre du monde aux dés
Ce saccage en règle, allié à un détournement d’objets et d’idées aussi drôle qu’insolent, souffle un vent de liberté porté par trois comédiens. Ils entrent dans un état d’esprit particulier : celui du combattant de l’art, prêt à affronter l’inconnu et le chaos, en quête d’un acte de création. Armés de bombes de peinture, de marteaux, de machineries, de mannequins et d’outils en tous genres, ils vont tout mettre à terre.
Les transgressions et toutes sortes de fantaisies se multiplient, les folies poétiques et les scandales se bousculent dans une scénographie où tout s’écroule, se défigure et se reconfigure avec un étonnement permanent. Le monde qu’ils reconstruisent galope, hennit, chante par onomatopées, se tache de peinture, éclate et chute à nouveau. Leur terrain de jeu kaléidoscopique, en forme de fête joyeuse et vivifiante, célèbre notre capacité créatrice et nous rappelle que tout est possible. Même rejouer l’ordre du monde aux dés
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