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Danse Contemporaine - Spectacle
Lisbeth Gruwez dances Bob Dylan
Lisbeth Gruwez dances Bob Dylan
Pôle Sud Saison 2017/18
Date
Contact
http://www.pole-sud.fr
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Organisateur
Pôle Sud
Les autres manifestations du même organisateur
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Lieu
Pôle Sud,
rue de Bourgogne, à Strasbourg
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Tarifs
Description
Un moment magique alliant complicité et douce nostalgie : Lisbeth Gruwez, interprète d’exception, danse sur les musiques de Bob Dylan. C’est aussi simple et beau qu’une longue amitié. Le chanteur américain, nobélisé pour son œuvre poétique, a marqué une époque. Et la danse à son tour y apporte son écho silencieux navigant entre paroles et mélodies.
« Bob Dylan vaut mieux qu’un long discours », a-t-on écrit. Et pourquoi pas une danse ? Ce n’est sans doute pas Lisbeth Gruwez, danseuse égérie du dramaturge Jan Fabre, qui viendra contredire cette proposition. Celle qui l’an dernier bouleversait le public par la puissance de ses gestes tranchant l’espace, s’abandonne à la fluidité sur les musiques de Bob Dylan. Toujours accompagnée de son complice de création, Maarten Van Cauwenberghe choisissant un à un les titres du chanteur gravés sur de vieux vinyles, Lisbeth Gruwez privilégie le dialogue silencieux, intime, parfois jusqu’à l’unisson d’une écoute commune de ces chansons des années 60, qu'elle a appris à aimer grâce à lui.
Cette pièce d'une grande douceur, épurée jusqu’à la mélancolie, relève d’une forme de grâce. Evoluant dans la sobriété, dans l’esprit de l’espace minimaliste qui l’environne, la danseuse délie ses gestes jusqu’à dévoiler le sens de la fragilité, cette éphémère beauté des instants partagés. Tendre alchimie aux inflexions variées dont les nouvelles éclipses invitent à la balade.
S’il reste vrai que la poésie contemporaine demeure lointaine à beaucoup, on sait aussi que les meilleures chansons populaires suscitent à la fois l'imagination et les émotions, qu’elles permettent de déverrouiller les images et souvenir les plus intimes. Cela semble encore plus évident à la façon dont procède Lisbeth Gruwez pour ouvrir cet aérien suspens entre ambiguité et abstraction, pour réenchanter l’espace et nous laisser rêver à notre tour.
« Bob Dylan vaut mieux qu’un long discours », a-t-on écrit. Et pourquoi pas une danse ? Ce n’est sans doute pas Lisbeth Gruwez, danseuse égérie du dramaturge Jan Fabre, qui viendra contredire cette proposition. Celle qui l’an dernier bouleversait le public par la puissance de ses gestes tranchant l’espace, s’abandonne à la fluidité sur les musiques de Bob Dylan. Toujours accompagnée de son complice de création, Maarten Van Cauwenberghe choisissant un à un les titres du chanteur gravés sur de vieux vinyles, Lisbeth Gruwez privilégie le dialogue silencieux, intime, parfois jusqu’à l’unisson d’une écoute commune de ces chansons des années 60, qu'elle a appris à aimer grâce à lui.
Cette pièce d'une grande douceur, épurée jusqu’à la mélancolie, relève d’une forme de grâce. Evoluant dans la sobriété, dans l’esprit de l’espace minimaliste qui l’environne, la danseuse délie ses gestes jusqu’à dévoiler le sens de la fragilité, cette éphémère beauté des instants partagés. Tendre alchimie aux inflexions variées dont les nouvelles éclipses invitent à la balade.
S’il reste vrai que la poésie contemporaine demeure lointaine à beaucoup, on sait aussi que les meilleures chansons populaires suscitent à la fois l'imagination et les émotions, qu’elles permettent de déverrouiller les images et souvenir les plus intimes. Cela semble encore plus évident à la façon dont procède Lisbeth Gruwez pour ouvrir cet aérien suspens entre ambiguité et abstraction, pour réenchanter l’espace et nous laisser rêver à notre tour.
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