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Musique Classique - Concert
Soirées et Matinées musicales d’Arles: Hommage à Henri Dutilleux
Date
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http://www.lemejan.com
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Lieu
Chapelle Saint Martin du Méjan,
place Nina-Berberova, à Arles
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Tarifs
tarif plein : 20.00 €
tarif réduit (carte soutien, seniors plus de 65ans, groupe à partir de 5 personnes) : 15.00 €
tarif spécial (étudiants, demandeurs d’emplois) : 7.00 €
tarif réduit (carte soutien, seniors plus de 65ans, groupe à partir de 5 personnes) : 15.00 €
tarif spécial (étudiants, demandeurs d’emplois) : 7.00 €
Description
Marc COPPEY, violoncelle
Pièces pour violoncelle seul de Bruno Mantovani
Trois strophes sur le nom de Sacher d’Henri Dutilleux Sonate pour violoncelle seul de Zoltan Kodaly
Comment mieux débuter cette deuxième partie de l’Hommage à Henri Dutilleux, que de laisser la place à l’un de nos plus brillants compositeurs (aussi chef d’orchestre) contemporains? Bruno Mantovani a produit de nombreuses pièces pour musique de chambre, orchestre, musique de chœur... mais également pour des solos comme c’est le cas avec les Pièces pour violoncelle qu’interprète Marc Coppey.
En 1976, Mstislav Rostropovitch demandait à douze compositeurs, dont Henri Dutilleux, d’écrire chacun un hommage pour violoncelle seul sur les lettres du nom Sacher, à l’occasion du 70e anniversaire de Paul Sacher qui, pendant plus de 50 ans anima et dirigea l’Orchestre de chambre de Bâle. En 1982, Dutilleux a donné un prolongement à son hommage en y ajoutant deux autres pièces. Elles sont dédiées à Rostropovitch qui en donna la première audition à Bâle en 1982. Cette courte suite de trois mouvements est élaborée à partir de trois éléments générateurs: le violoncelle (instrument privilégié dans l’œuvre d’Henri Dutilleux), le nom de Sacher (la partition est basée sur les six lettres du nom) et le principe de la strophe qui donne forme au poème et libère l’expression de son lyrisme, ici, le violoncelle se fait lyre, du compositeur et de l’interprète, car ces trois strophes sont l’œuvre de virtuose dans le sens le plus créatif du terme.
Pour poursuivre, le programme comporte le chef d’œuvre du compositeur hongrois et ami de Bartok, la Sonate, écrite dans sa période de maturité en 1915. En trois mouvements, cette sonate révèle une utilisation toute personnelle de la forme sonate pour donner une musique qui allie liberté de forme, flexibilité de diction, clarté de construction et unité thématique. L’impression d’improvisation et de liberté que propose l’œuvre provient du traitement virtuose que Kodaly impose au violoncelle.
Marc COPPEY, violoncelle
Pièces pour violoncelle seul de Bruno Mantovani
Trois strophes sur le nom de Sacher d’Henri Dutilleux Sonate pour violoncelle seul de Zoltan Kodaly
Comment mieux débuter cette deuxième partie de l’Hommage à Henri Dutilleux, que de laisser la place à l’un de nos plus brillants compositeurs (aussi chef d’orchestre) contemporains? Bruno Mantovani a produit de nombreuses pièces pour musique de chambre, orchestre, musique de chœur... mais également pour des solos comme c’est le cas avec les Pièces pour violoncelle qu’interprète Marc Coppey.
En 1976, Mstislav Rostropovitch demandait à douze compositeurs, dont Henri Dutilleux, d’écrire chacun un hommage pour violoncelle seul sur les lettres du nom Sacher, à l’occasion du 70e anniversaire de Paul Sacher qui, pendant plus de 50 ans anima et dirigea l’Orchestre de chambre de Bâle. En 1982, Dutilleux a donné un prolongement à son hommage en y ajoutant deux autres pièces. Elles sont dédiées à Rostropovitch qui en donna la première audition à Bâle en 1982. Cette courte suite de trois mouvements est élaborée à partir de trois éléments générateurs: le violoncelle (instrument privilégié dans l’œuvre d’Henri Dutilleux), le nom de Sacher (la partition est basée sur les six lettres du nom) et le principe de la strophe qui donne forme au poème et libère l’expression de son lyrisme, ici, le violoncelle se fait lyre, du compositeur et de l’interprète, car ces trois strophes sont l’œuvre de virtuose dans le sens le plus créatif du terme.
Pour poursuivre, le programme comporte le chef d’œuvre du compositeur hongrois et ami de Bartok, la Sonate, écrite dans sa période de maturité en 1915. En trois mouvements, cette sonate révèle une utilisation toute personnelle de la forme sonate pour donner une musique qui allie liberté de forme, flexibilité de diction, clarté de construction et unité thématique. L’impression d’improvisation et de liberté que propose l’œuvre provient du traitement virtuose que Kodaly impose au violoncelle.
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