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Musique Jazz - Festival
Jazz et musique improvisée en Franche-Comté
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http://www.aspro-impro.fr
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Horaires, dates et informations particulières
Les lieux :
Le Kursaal - Place du Théâtre – Besançon
Le Théâtre (scène nationale) – 49 rue Mégevand – Besançon
Le Kursaal - Place du Théâtre – Besançon
Le Théâtre (scène nationale) – 49 rue Mégevand – Besançon
Lieu
Divers lieux à Besançon,
Besançon, à Besançon
Afficher les manifestations organisées dans ce lieu
Besançon, à Besançon
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Tarifs
Description
Rassemblement estival à Besançon autour du jazz contemporain et des musiques improvisées.
La Femme est-elle l’avenir du jazz ? Elle est déjà l’origine du monde, nous sommes bien placés, ici, en Franche-Comté, pour le savoir, ce qui n’est pas rien, convenons-en. En tout cas, il y a bien longtemps que les improvisatrices contribuent à l’avancement des musiques créatives et que, parité bien ordonnée…, nous leurs accordons une large place dans nos programmations, confessant, par là même, notre penchant immodéré à les découvrir. Cette édition leur est donc majoritairement consacrée et illustrée par cette brochure réalisée avec la complicité de René Barsot, photographe bisontin remarqué et remarquable, dont les fantastiques pastiches et clichés glamour, éloquents, élégants et délirants vont en faire jaser plus d’un, surtout les mauvaises langues, ces dames me comprendront. Mais nous partageons depuis longtemps l’avis de Courteline selon lequel passer pour un idiot aux yeux d’un imbécile est une volupté de fin gourmet. Au passage, ayons une pensée émue pour nos incorrigibles et irrésistibles politiciens si prompts à défendre la parité qu’ils se précipitent tous pour y aller de leur profession de foi, devant micros et caméras et s’en remettent ensuite, comme toujours, au célèbre précepte édicté il y a bien longtemps par l’inénarrable Henri Queuille, ancien député de Corrèze de gôche, comme qui vous savez, les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent. Et c’est en vertu de la même règle de conduite, que le candidat élu à la dernière élection présidentielle, a allègrement renié son engagement solennel de campagne à sanctuariser le budget de la Culture, à tel point que nous redoutons, comme bon nombre d’acteurs culturels, de devoir en être réduits à tirer le diable par la queue. Auparavant, nous conservons l’ambition de faire de ce très modeste festival, un (tout) petit coin de paradis pour le jazz d’aujourd’hui et la musique improvisée, au risque de devoir y goûter, selon le joli mot de Jean Cocteau, au fruit d’Eve fendu. Laissez-vous tenter et…au (malin) plaisir de vous y croiser.
Philippe Romanoni
Rassemblement estival à Besançon autour du jazz contemporain et des musiques improvisées.
La Femme est-elle l’avenir du jazz ? Elle est déjà l’origine du monde, nous sommes bien placés, ici, en Franche-Comté, pour le savoir, ce qui n’est pas rien, convenons-en. En tout cas, il y a bien longtemps que les improvisatrices contribuent à l’avancement des musiques créatives et que, parité bien ordonnée…, nous leurs accordons une large place dans nos programmations, confessant, par là même, notre penchant immodéré à les découvrir. Cette édition leur est donc majoritairement consacrée et illustrée par cette brochure réalisée avec la complicité de René Barsot, photographe bisontin remarqué et remarquable, dont les fantastiques pastiches et clichés glamour, éloquents, élégants et délirants vont en faire jaser plus d’un, surtout les mauvaises langues, ces dames me comprendront. Mais nous partageons depuis longtemps l’avis de Courteline selon lequel passer pour un idiot aux yeux d’un imbécile est une volupté de fin gourmet. Au passage, ayons une pensée émue pour nos incorrigibles et irrésistibles politiciens si prompts à défendre la parité qu’ils se précipitent tous pour y aller de leur profession de foi, devant micros et caméras et s’en remettent ensuite, comme toujours, au célèbre précepte édicté il y a bien longtemps par l’inénarrable Henri Queuille, ancien député de Corrèze de gôche, comme qui vous savez, les promesses n’engagent que ceux qui les écoutent. Et c’est en vertu de la même règle de conduite, que le candidat élu à la dernière élection présidentielle, a allègrement renié son engagement solennel de campagne à sanctuariser le budget de la Culture, à tel point que nous redoutons, comme bon nombre d’acteurs culturels, de devoir en être réduits à tirer le diable par la queue. Auparavant, nous conservons l’ambition de faire de ce très modeste festival, un (tout) petit coin de paradis pour le jazz d’aujourd’hui et la musique improvisée, au risque de devoir y goûter, selon le joli mot de Jean Cocteau, au fruit d’Eve fendu. Laissez-vous tenter et…au (malin) plaisir de vous y croiser.
Philippe Romanoni
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